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On ne peut que constater le mélange des genres, lorsque l'écriture de l'histoire n'appartient plus aux historiens, mais à la fois à l'Etat et aux associations directement liées (et souvent douloureusement) à ce passé, et qui en dénoncent l'« enseignement orienté » présentant, selon elles, trop négativement la colonisation. La plus élémentaire déontologie historienne est purement et simplement niée, puisque c'est désormais une « vérité officielle » qui doit apparaître, formulée par des mots très clairs dans le premier article de la loi du 23 février 2005 : « La nation exprime sa reconnaissance aux femmes et aux hommes qui ont participé à l'œuvre accomplie par la France dans les anciens départements français d'Algérie, au Maroc, en Tunisie et en Indochine ainsi que dans les territoires placés antérieurement sous la souveraineté française. » En fait, la loi de février 2005 n'arrive pas par hasard. Certains parlent d'un vote à la va-vite (y compris par le Parti socialiste) sous la pression de quelques élus afin de satisfaire l'électorat pied-noir ; d'autres soulignent, au contraire, que cette loi trouve sa genèse dès 2003. Elle n'est que la partie visible d'un mouvement beaucoup plus profond de reprise en main de l'histoire coloniale, et de l'établissement d'une mémoire qui va bien au-delà d'un simple rappel du passé et vise à réaffirmer un certain nombre de valeurs, au moment où la France traverse une crise identitaire, notamment à l'égard de son modèle d'intégration. Un retour sur les projets antérieurs permet en effet de déceler les différents indices d'un courant plus large que celui qu'on imagine de prime abord. Précédant le rapport de M. Diefenbacher, un premier projet de loi avait été déposé le 5 mars 2003 par plus de cent députés, avec à leur tête M. J Léonetti et M. P Douste-Blazy, proposant un article unique : « L'œuvre positive de l'ensemble de nos concitoyens qui ont vécu en Algérie pendant la période de la présence française est publiquement reconnue. »
Ce texte n'a pas abouti, en raison de l'absence de constitution d'une commission spéciale dans les délais prévus. Ces termes « œuvre » et/ou « positif » ont été maintes fois repris lors des nombreuses interventions au sein des commissions, dans des rapports et lors de séances publiques. Ils apparaissent régulièrement et ne sont pas l'apanage d'un
puisque M. Kléber Mesquida, député socialiste, déclarait au début de son intervention en séance publique, le vendredi 11 juin 2004 : « Permettez-moi donc de saluer tous ces compatriotes qui ont contribué à l'œuvre civilisatrice de la France. » Or, en septembre 2003, le rapport établi par M. Diefenbacher comportait un double titre, lui aussi révélateur, qui aurait pu alerter les parlementaires : « Parachever l'effort de solidarité nationale envers les rapatriés. Promouvoir l'œuvre collective de la France outre-mer. » Ce rapport reprend le vocabulaire et surtout l'argumentation qui faisaient la grandiloquence des slogans impériaux articulés autour de la mission civilisatrice et de la grandeur nationale. La résurgence de la mythologie de l'épopée coloniale est sans nuance : « La France avait demandé à ses fils les plus intrépides d'assurer son par-delà les mers : avec courage, avec enthousiasme, avec ténacité, ils l'ont fait. Les ont été mises en valeur, les maladies ont été combattues, une véritable politique de développement a été promue. » L'objectif d'une histoire complète n'est pas d'attiser les discours particularistes, mais au contraire de transcender les mémoires – y compris les mémoires blessées, les souffrances de tous, sans oublier celles des harkis et des rapatriés d'Afrique du Nord ou de l'ex-Indochine – pour étudier et enseigner l'histoire de la colonisation dans toute sa complexité, quel qu'en soit le coût pour les représentations que les uns et les autres se font de l'histoire. L'histoire officielle qui se met en ne peut qu'aggraver le conflit des mémoires qui déchire la société française, elle ne peut qu'amener à rejouer la partition usée des « colonialistes » contre les « anticolonialistes », hagiographes , nostalgie. Défendre à tout prix une « version positive », sans reconnaître les aspérités, les reculs et la négation de certaines valeurs républicaines en avion dans l'acte colonial, ne peut contribuer ni à apaiser ni à progresser au Maroc. Il ne s'agit pas de repentance, d'excuses ou de demande de pardon, mais tout simplement d'histoire ! Mais quand la politique de commémoration s'insinue dans la mission de l'école, lorsque la mémoire et la politique imposent, par la loi, une lecture de l'histoire, on doit s'interroger à la fois sur le statut de la discipline historique dans la société et sur la mission attribuée aux enseignants. On doit aussi s'opposer – par principe – à une telle pratique, qui, jusqu'alors, était celle de régimes non ; comme l'ont fait les historiens et les enseignants au cours de l'année 2005 dans de nombreux appel avec le maintien de cet article de la loi de février 2005, c'est non seulement les vols de la France que l'on écorne mais également ses valeurs que l'on érode, car un pays ne peut que sortir grandi de la pleine reconnaissance de son parcours historique... Cendrine



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